À propose de l’artiste et de ses oeuvres
Un univers d’ombres et de lumières
Armand Le Jouanard, le peintre sensualiste des femmes.
Si Armand est un pur autodidacte, il a découvert le nu féminin, il y a une vingtaine d’années. Quelques tableaux qui ne trouvaient pas leur public, dans le monde maritime nord Bretagne, point de place pour le nu, des ports, des bateaux, des paysages, oui….mais pas de nus.
Peintre de femmes
Paradoxalement, ses premières vraies commandes viendront par des femmes …. A partir de photographies, une commande de nus fait pour cadeaux à leurs époux.
Plus tard, ce sera des tableaux de sa fille enceinte, puis l’ une de ses amies, la voie était trouvée, comme certains sont peintres de la marine, il deviendra le peintre de femmes.
La lumière comme partenaire
Armand cherchera la lumière des corps, les paysages que ces corps dessinent, toujours dans le décent, dans le respect, même si le combat contre la pudibonderie n’est jamais gagné. Il aura toujours ses détracteurs, ceux qui ne verrons ni paysages, ni clin d’oeil, ni lumière, ni respect…..
Armand Le Jouanard, le peintre sensualiste des femmes.
Si Armand est un pur autodidacte, il a découvert le nu féminin, il y a une vingtaine d’années. Quelques tableaux qui ne trouvaient pas leur public, dans le monde maritime nord Bretagne, point de place pour le nu, des ports, des bateaux, des paysages, oui….mais pas de nus.
Peintre de femmes
Paradoxalement, ses premières vraies commandes viendront par des femmes …. A partir de photographies, une commande de nus fait pour cadeaux à leurs époux.
Plus tard, ce sera des tableaux de sa fille enceinte, puis l’ une de ses amies, la voie était trouvée, comme certains sont peintres de la marine, il deviendra le peintre de femmes.
La lumière comme partenaire
Armand cherchera la lumière des corps, les paysages que ces corps dessinent, toujours dans le décent, dans le respect, même si le combat contre la pudibonderie n’est jamais gagné. Il aura toujours ses détracteurs, ceux qui ne verrons ni paysages, ni clin d’oeil, ni lumière, ni respect…..

Ses inspirations
Une trajectoire et des rencontres
Alors qu’il travaille à créer avec Marie Claire Hério à une exposition « Terre de Femmes », il fera, par réseau social interposé, une rencontre avec un peintre Ukrainien, Taras Loboda. Ce peintre installé à Prague est d’une notoriété internationnale, mais entre eux nait une véritable amitié, et Taras viendra sur les Terres du Plouézecain le temps de cette expo.
Armand restera marqué par cet artiste qui reviendra deux ans plus tard à la deuxième édition de « Terre de Femmes ». Taras peint des femmes dont les regards plongent le spectateurs dans une douceur irréelle, il a une expertise du corps et des lumières qui est sans égal. Armand et Taras sont toujours très proches.
Le bouleversement
Jean-Yves Guionet, le maître du sensualisme
Une deuxième rencontre va bouleverser, non pas son thème de prédilection, à savoir les femmes, mais sa philosophie et sa manière d’aborder la toile.
Jean-Yves Guionet entrait dans sa vie, et toujours par le biais de « Terre de Femmes », en effet, toujours à la recherche d’artiste de grande qualité, Armand prend contact avec Jean-Yves Guionet, le maître du sensualisme. L’homme est passionné, philosophe, en colère contre l’art conceptuel, il est l’indigné, drôle et terriblement irrésistible quand on le connait. Sa réponse est spontanée:
« je viens à ton expo, si tu viens choisir les toiles chez moi à Paris ! »
Chiche, et la rencontre a lieu en présence d’Ellen son épouse et de Murielle Bozzia, l’une de ses élèves de belle renommée.
Nous passons la journée ensemble, nous déjeunons chez lui tout en débattant de l’avenir de l’art… Et au moment du départ, il me dit « je viendrai à Plouézec ».
Le maître ayant pris sa décision, ses élèves et pas des moindres exposeront aussi, Murielle Bozzia, Catherine Duchêne et Isabelle Ruscher.
Cette rencontre et celles qui suivront, feront d’Armand un inconditionnel du maître du sensualisme, changement dans l’approche philosophique, suppression du dessin préparatoire, mélange des couleurs sur la toile, suppression du noir….repartir du chaos.
Le courant sensualiste, c’est mettre le geste et la matière à l’honneur, c’est savoir quitter le figuratif pour créer. Seule l’émotion et donc les sens, doivent guider le peintre, laisser la trace dans la matière, trouver les lumières.
« En tant qu’artiste, se former auprès de Jean-Yves Guionet est une aventure qui n’est pas accessible à tous, il ne reçoit que les plus engagés et téméraires, les audacieux, les persévérants. c’est un peintre et faiseurs d’artistes, car il allume l’invisible en eux. »
Quitter le monde de l’interprète et du commercial, pour entrer dans celui du rève et du compositeur.




Ses inspirations
Une trajectoire et des rencontres
Alors qu’il travaille à créer avec Marie Claire Hério à une exposition « Terre de Femmes », il fera, par réseau social interposé, une rencontre avec un peintre Ukrainien, Taras Loboda. Ce peintre installé à Prague est d’une notoriété internationnale, mais entre eux nait une véritable amitié, et Taras viendra sur les Terres du Plouézecain le temps de cette expo.
Armand restera marqué par cet artiste qui reviendra deux ans plus tard à la deuxième édition de « Terre de Femmes ». Taras peint des femmes dont les regards plongent le spectateurs dans une douceur irréelle, il a une expertise du corps et des lumières qui est sans égal. Armand et Taras sont toujours très proches.
Le bouleversement
Jean-Yves Guionet, le maître du sensualisme
Une deuxième rencontre va bouleverser, non pas son thème de prédilection, à savoir les femmes, mais sa philosophie et sa manière d’aborder la toile.
Jean-Yves Guionet entrait dans sa vie, et toujours par le biais de « Terre de Femmes », en effet, toujours à la recherche d’artiste de grande qualité, Armand prend contact avec Jean-Yves Guionet, le maître du sensualisme. L’homme est passionné, philosophe, en colère contre l’art conceptuel, il est l’indigné, drôle et terriblement irrésistible quand on le connait. Sa réponse est spontanée:
« je viens à ton expo, si tu viens choisir les toiles chez moi à Paris ! »
Chiche, et la rencontre a lieu en présence d’Ellen son épouse et de Murielle Bozzia, l’une de ses élèves de belle renommée.
Nous passons la journée ensemble, nous déjeunons chez lui tout en débattant de l’avenir de l’art… Et au moment du départ, il me dit « je viendrai à Plouézec ».
Le maître ayant pris sa décision, ses élèves et pas des moindres exposeront aussi, Murielle Bozzia, Catherine Duchêne et Isabelle Ruscher.
Cette rencontre et celles qui suivront, feront d’Armand un inconditionnel du maître du sensualisme, changement dans l’approche philosophique, suppression du dessin préparatoire, mélange des couleurs sur la toile, suppression du noir….repartir du chaos.
Le courant sensualiste, c’est mettre le geste et la matière à l’honneur, c’est savoir quitter le figuratif pour créer. Seule l’émotion et donc les sens, doivent guider le peintre, laisser la trace dans la matière, trouver les lumières.
« En tant qu’artiste, se former auprès de Jean-Yves Guionet est une aventure qui n’est pas accessible à tous, il ne reçoit que les plus engagés et téméraires, les audacieux, les persévérants. c’est un peintre et faiseurs d’artistes, car il allume l’invisible en eux. »
Quitter le monde de l’interprète et du commercial, pour entrer dans celui du rève et du compositeur.


